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Point presse décembre 2024

>3 janvier 2025 Les Affiches de Grenoble et du Dauphiné

La Métro a adopté son programme local de l’habitat 2025-2030

Le territoire de Grenoble Alpes Métropole comprend actuellement 240 000 logements pour 450 000 habitants. Le parc social représente 20 % des résidences principales. Le PLH vise la production de 2 550 logements par an,1300 par an pour le parc social. 400 logements privés seront rénovés chaque année et transformés en logements sociaux.

>27 décembre 2024 Le Monde

Logement des personnes handicapées : un bilan critique du « logement évolutif » toujours pas rendu public

Le gouvernement a fait réaliser, comme le demandait la loi ELAN de 2018, un bilan d’application de ces habitations, qui peuvent être rendues accessibles à tous par des « travaux simples ». Mais il ne l’a pas communiqué comme prévu au Parlement. Lire l’article ici. 

>27 décembre 2024 Le Monde

Le mal-logement des personnes handicapées, phénomène méconnu et multifactoriel : « Je me déplace en me traînant au sol »

Pénuries d’habitations, mises aux normes difficilement réalisable, discriminations, manque de volontarisme politique : pour se loger, les personnes en perte d’autonomie rencontrent nombre de difficultés. Et les conséquences sont dramatiques : pièces inaccessibles, obstacle pour sortir… Lire l’article ici. 

>21 décembre 2024 Le Dauphiné libéré

Métropole de Grenoble. Les loyers vont être encadrés dans la métropole en janvier

L’encadrement sera applicable sur une partie de Saint-Egrève, Sassenage, Fontaine, Grenoble, Saint-Martin d’Hères, Seyssinet, Échirolles et Le Pont-de-Claix, et concernera entièrement Fontanil, La Tronche, Meylan, Domène, Muriannette, Venon, Gières, Seyssins, Eybens, Poisat, Bresson, Claix et Varces. Le dispositif concernera environ 65 000 locataires. C’est le préfet qui fixera un loyer de référence à ne pas dépasser de plus de 20% par catégorie de logement et secteur géographique. C’est au locataire qu’il reviendra de contester son loyer en saisissant la commission de conciliation réactivée après une période de mise en sommeil.

Voir aussi : Typologie des biens, profils des locataires : le marché́ locatif de Grenoble à la loupe  https://c.ledauphine.com/economie/direct-entreprises

>17 décembre 2024 Le Dauphiné libéré

Grenoble. Ils réclament « un toit, une école, des papiers pour toutes et tous »

Depuis la rentrée,10 écoles sont occupées à Grenoble pour mettre à l’abri 25 adultes et 30 enfants issus de familles à la rue : La Fontaine, Les Genets, Lucie Aubrac, Jules Ferry, Jean Racine, Clémenceau, Berriat, Anthoard, Jean Macé, Malherbe.

L’inter-collectif des écoles occupées : « Les écoles ne peuvent pas devenir des centres d’hébergement bis »

>5 décembre 2024 Le Dauphiné libéré

Grenoble. « La préfecture fabrique des sans-abris et des sans-papiers ».

La quasi-impossibilité d’obtenir des rendez-vous en préfecture de l’Isère perdure. De nombreux Isérois se retrouvent sans papiers, donc sans travail ni ressources, alors qu’ils ont les documents requis. Une manifestation a eu lieu devant la préfecture à laquelle assistaient notamment des élus de Grenoble, Meylan et de l’opposition du conseil régional.

>05 décembre 2024 Le Monde

Les expulsions de campements, bidonvilles et squats en forte hausse, selon les associations

L’Observatoire des expulsions de lieux de vie informels en a recensé près de 1 500 entre novembre 2023 et la fin d’octobre 2024, soit 34 % de plus en un an. Avec des effets délétères sur la santé des personnes concernées. Lire l’article ici. 

>05 décembre 2024 Le Monde

Censure du gouvernement Barnier : la crise du logement se durcit, les mesures de nouveau différées

La chute du gouvernement, votée mercredi, bloque les dispositions prévues dans le projet de loi de finances. Lire l’article ici.

>1er décembre 2024 Le Dauphiné libéré

Grenoble. Une famille « mise à l’abri » à l’école Lucie Aubrac

Un collectif d’une vingtaine de parents demande à la préfecture de l’Isère de trouver un logement « digne et pérenne » pour cette famille.

webinaire rencontres UTPT

La vente de logements sociaux : stratégie, acquéreurs et devenirs des biens

Un premier webinaire a été organisé le 16 janvier de 8h30 à 9h30 dans le cadre de la 5ème édition des Rencontres d’Un Toit pour Tous dont le thème est « Mixité sociale et habitat, quels leviers pour les politiques locales ». Cette première heure a été animée par Marine Bourgeois, maitresse de conférences à Sciences Po Grenoble avec comme intervenante principale Adriana Diaconu, maitresse de conférences en aménagement et urbanisme à l’institut d’urbanisme et de géographie alpine (IUGA). Près de 60 personnes y ont participé.

Les 3 objectifs de la vente de logements sociaux par les organismes HLM :

  • permettre aux locataires occupants d’accéder à la propriété ;
  • favoriser la mixité sociale ;
  • obtenir des fonds pour réaliser de nouveaux programmes de logements sociaux.
Au départ, les élus des collectivités souhaitaient que ces ventes concernent prioritairement les logements dans les quartiers sensibles. Mais l’expérience a démontré que cela ne permettait pas de répondre aux objectifs. De plus, cela entrainait la constitution de copropriété pauvres avec de nombreux problèmes.

Les objectifs prévus par la loi sont loin d’être atteints

Ces dernières années, avec la baisse des financements dans le logement social de la part de l’État, celui-ci incite fortement les organismes HLM à vendre des logements dans des quartiers diffus afin qu’ils aient de la trésorerie pour en bâtir ou réhabiliter de nouveaux. L’objectif était la vente de 1% du patrimoine et en moyenne une vente d’un logement pour la réalisation de trois neufs et 40000 habitations vendues par an. Mais la réalité est loin de ces chiffres. En 2021, il y a eu 12 000 logements vendus soit 23% des objectifs avec une hausse sensible depuis 2015 (8000). Les communes ne peuvent s’opposer à la vente de logements sociaux par les organismes HLM que si que si cette vente risque de faire passer la proportion de logements sociaux sur leur territoire en dessous des 25 % exigés par la loi solidarité et renouvellement urbain. Les ventes se concentrent sur les territoires où les prix sont les plus élevés et ceux où il y a le plus de logements sociaux en secteurs diffus. En revanche, il s’est avéré compliqué de vendre dans les quartiers politique de la ville. Donc les ventes de logement sociaux ne répondent pas à l’objectif de favoriser la mixité sociale dans ces zones.

Des ventes majoritairement au profit des non occupants

Les acheteurs occupants sont de moins en moins nombreux. Ils représentent environ 30 % du total en 2021 alors que cela en représentait 80 % dans les années 2000. Les autres acheteurs sont des particuliers non concernés par les critères sociaux et des organismes agréés qui achètent des blocs afin de faire de la revente. Dans ce dernier cas, cela permet des ventes rapides plus importantes. Les biens acquis venant du parc social sont beaucoup plus souvent revendus dans les neuf ans que ceux du marché en général (25% au lieu de 11%) sachant qu’il y a une clause anti spéculative de 5 ans.

Davantage de ventes dans le Nord Isère que sur l’agglomération grenobloise

En Isère, 60 % des ventes de logements sociaux ont eu lieu sur le territoire de la communauté d’agglomération des Portes de l’Isère car cela permettait des ventes à des prix plus élevés malgré les décotes pratiquées sur un territoire sous influence lyonnaise. Cela correspond aussi à un souhait des élus de ce territoire et de la spécificité des biens mis en vente. L’agglomération grenobloise ne représente que 37% des ventes. Cela est dû aux caractéristiques du parc social et aux choix des élus.
En conclusion, bien que la vente de logements sociaux soit de plus en plus encouragée, elle semble davantage répondre à des enjeux financiers qu’aux attentes de mixité sociale des élus. Les agglomérations sont attentives au devenir des logements vendus et se tournent vers d’autres outils et alternatives comme le bail réel solidaire pour répondre aux défis d’un habitat inclusif et accessible.

Voir le résumé en chiffres du webinaire 
Voir le replay du webinaire 

5ᵉ PLH du Pays voironnais : nouveaux défis, habitat durable et partenariat avec Un Toit Pour Tous

Le 5e Plan local de l’habitat (PLH) du Voironnais, qui doit couvrir les années 2025-2030, est en cours d’élaboration, pour être finalisé à l’automne prochain. La communauté de communes du Pays voironnais (CAPV) a laissé une grande place au partenariat pour recueillir les analyses et avis des acteurs du logement, à côté de ceux des collectivités publiques. Un Toit Pour Tous y a évidemment participé compte tenu de son implication dans le secteur. Lire la suite

Mieux connaitre les réalités du mal-logement, une formation indispensable

Vouloir œuvrer pour que toute personne puisse se loger nécessite de bien connaître la situation du mal logement et des politiques publiques engagées sur ces sujets. C’est pourquoi l’association Un Toit pour Tous a eu la bonne initiative d’organiser deux demi-journées de formation les 9 et 17 décembre 2024 destinées aux bénévoles et aux salariés de l’association. Elles étaient animées par René Ballain et Marie Guillaumin.   Lire la suite

Point presse novembre 2024

>14 novembre 2024 Le Dauphiné Libéré

Isère. Dans le département, la pauvreté s’aggrave encore …

…selon le Secours catholique qui publie ce jeudi son rapport annuel sur l’état de la pauvreté en France en 2023.

En Isère cette année-là l’association a reçu 6400 ménages(dont 40% sans ressources soit 2 fois plus qu’au niveau national) pour les accompagner dans l’un des 45 lieux qu’elle occupe aidée de 750 bénévoles. Elle souligne que l’un des facteurs majeur de la précarité , c’est qu’il y a énormément de non-recours aux prestations sociales comme le RSA parce que c’est un vrai parcours du combattant

>14 novembre 2024 Synthèse de presse de l’USH 705

Les Français de plus en plus contraints par leur budget « logement » selon le Conseil économique social et environnemental (CESE).

La part consacrée par les ménages à leur habitat a bondi de 19,7% à 26,7% en cinq ans.

L’Agence nationale de contrôle du logement social (Ancols) recommande des mesures pour renforcer l’offre de logements très sociaux                                               

Les logements très sociaux ne représentent que 7% du stock actuel de 5,2 millions de logements sociaux et seulement 30% des logements sociaux agréés entre 2018 et 2023, alors que plus de 70% des nouveaux entrants dans le parc social ont des revenus inférieurs aux plafonds de ressources PLAI.

 

>12 novembre 2024 Le Monde

Emmanuelle Cosse : « La crise du logement est encore plus profonde qu’imaginé »

L’ancienne ministre du logement, aujourd’hui présidente de l’Union sociale pour l’habitat, participera à la table ronde « Habitat et mobilité : remettre la qualité de vie au cœur des politiques » dans le cadre du festival Néo Terra, qui se tiendra à Bordeaux du 28 au 30 novembre, en partenariat avec « Le Monde ».

https://www.lemonde.fr/societe/article/2024/11/12/emmanuelle-cosse-la-crise-du-logement-est-encore-plus-profonde-qu-imagine_6389643_3224.html

 

>7 novembre 2024 Synthèse de presse de l’USH 704

Palmarès des métropoles les plus chères

Les prix des appartements et des maisons individuelles sont restés stables, avec une évolution de -0,1 % sur l’ensemble du pays en octobre.. Des villes comme Toulon, Le Havre, Strasbourg et Reims voient leurs prix baisser d’environ 1 % par mois, tandis que Grenoble, Lille et Nice enregistrent une hausse.

Étude de la Fondation Abbé-Pierre sur le maintien des aides au logement.

 Selon la Fondation, en 2023, 19 023 ménages ont été expulsés avec le concours de la force publique, ce qui représente une augmentation de 17 % par rapport à l’année 2022. La Fondation Abbé-Pierre observe des dysfonctionnements dans la gestion des aides au logement par les caisses d’allocations familiales (CAF), notamment un manque de communication efficace avec les locataires et les bailleurs.

Réunion Lasur un toit pour tous

LASUR, la solidarité citoyenne

Le 26 septembre dernier, Un Toit Pour Tous réunissait les collectifs et associations engagés, avec son appui, dans l’accueil de familles en grande précarité, immigrées, ne pouvant accéder de par leur statut à un logement de droit commun.
La plupart des groupes concernés étaient présents, accompagnés des salariés d’Un Toit Pour Tous en lien avec le dispositif et des bénévoles de l’association.

Le dispositif LASUR : un appui crucial depuis 2016
Le dispositif LASUR (Logements d’attente en réponse à des situations d’urgence), mis en place par Un Toit Pour Tous depuis 2016 offre ainsi un appui déterminant à ces groupes militant. Ceux-ci soutiennent notamment financièrement ces familles (paiement de tout ou partie du loyer et des charges) en leur proposant dans la plupart des cas un logement, en assurant sa gestion locative, en gérant les dons et le suivi comptable, et en les soutenant si besoin dans l’accompagnement social.
Cet accompagnement offre une garantie aux propriétaires bailleurs (1), d’autant plus que les baux sont détenus par des associations et collectifs.

Zoom sur le dispositif LASUR : entretien avec Véronique et Estelle, salariées à Un Toit Pour Tous


Il faut dire d’emblée combien cela est réconfortant de voir ensemble toutes ces personnes qui se mobilisent collectivement dans une démarche d’accueil inclusif : pour assurer un logement à ces ménages – leur assurant stabilité pour eux et leurs enfants – lesquels, sinon, resteraient dans des situations très précaires (hébergement d’urgence, chez des tiers, squats, ou même à la rue).

Une réponse adaptée à des besoins croissants
Les associations et collectifs engagés dans ce dispositif sont actuellement au nombre de 25 et accompagnent 35 familles, soit 123 personnes (2). Depuis sa mise en place en 2016, le dispositif LASUR a permis d’accueillir 129 familles, représentant 283 personnes. Parmi elles, on trouve majoritairement des familles avec enfants (57 %), mais aussi des personnes isolées, avec une hausse notable des femmes seules avec enfant. Pour répondre à cette augmentation constante du nombre de ménages accueillis, Un Toit Pour Tous s’est organisé avec une équipe de salariés dédiés et le soutien des services administratifs et comptables.

Une réunion pour renforcer les liens et les connaissances
La réunion avait pour objectif principal, après une présentation rapide des collectifs, de permettre à ces derniers de rencontrer toute l’équipe d’Un Toit Pour Tous. Elle visait également à expliciter le mécanisme comptable et de collecte des dons, les financements mobilisables (Les Petites Pierres, fonds RIACE, Fondation de France), ainsi que les méthodes pour animer des campagnes de collecte de fonds.

Des échanges enrichissants entre acteurs engagés
La réunion s’est conclue par un exposé des actions de l’ADATE (4) : accueil et hébergement des demandeurs d’asile et mineurs non accompagnés, accès aux droits des étrangers, médiation et soutien à la parentalité, promotion de la citoyenneté et développement de ressources (formation, actions culturelles etc.).
Les participants ont apprécié de pouvoir rencontrer et dialoguer avec l’équipe LASUR, échanger entre eux et partager leurs expériences et leurs difficultés. Le représentant de RESF (réseau d’éducation sans frontière), entre autres, a notamment souligné le fait que la mobilisation des parents d’élèves est au départ relativement facile, mais qu’au fil du temps l’accompagnement dans la durée ou l’accueil de nouvelles familles rencontre plus de réticences.

Des perspectives pour 2025
Réunion très positive avec la promesse de se retrouver en 2025 pour des échanges et mesurer l’évolution du dispositif LASUR dans un contexte politique, en revanche, qui ne prête pas forcément à l’optimisme.

1) bailleurs sociaux : 19 logements, propriétaires privés : 6, EPFL (Etablissement public foncier local) : 4, UTPT : 4 ; la plupart de ces logements sont situés sur le territoire de la Métro.
2) certains collectifs ou associations accompagnent plusieurs familles, ainsi : APARDAP : 8,
RESF : 6, La Bouture : 4, ADA : 3, accueillir ensemble en Chartreuse : 2.
3) en moyenne 6 par an, mais depuis 2012 plus de 10.
4) ADATE : http://www.adate.org/
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Point presse octobre 2024

>2 novembre 2024 Le Dauphiné Libéré

Logement . Expulsions suspendues.

La trêve hivernale a débuté vendredi. Jusqu’au 31 mars les locataires ne peuvent plus être expulsés de leur logement. Cette trêve concerne aussi l’électricité et le gaz :pendant 5 mois  les fournisseurs d’énergie ne peuvent pas interrompre leurs services. Les expulsions ont atteint un niveau record l’an dernier : 19 023 soit + 17% par rapport à l’année précédente.

>26 octobre 2014 Le Monde

La photographe Diane Grimonet raconte 25 ans de mal-logement en France : « Les gens me demandent de montrer ce qu’ils vivent »

https://www.lemonde.fr/societe/article/2024/10/26/meme-un-animal-a-un-terrier-mais-parfois-l-humain-n-en-a-pas-vingt-cinq-ans-de-mal-logement-en-france-dans-l-il-de-la-photographe-diane-grimonet_6360334_3224.html

>19 0ctobre 2024 Le Dauphiné Libéré

Eybens. Après la levée de l’arrêté de péril / « Un défaut d’entretien depuis des années ».

Selon le maire « cette alerte n’a rien à voir avec les travaux de réhabilitation réalisés par Un Toit Pour Tous dans 4 logements. Ils n’ont pas touché à la structure. Au contraire ils ont même refait le toit ce qui a amélioré les choses au niveau des infiltrations »

>17 0ctobre 2024 Le Dauphiné Libéré

Grenoble. Depuis la rentrée, dix familles sans domicile hébergées dans des écoles…

accompagnées par des parents qui s’engagent.

Sept écoles sont occupées à Grenoble par dix familles et 28 enfants.

L’hébergement d’urgence est saturé. Les places supplémentaires(100) créées récemment par la Ville sont déjà remplies à 90%.

>17 octobre 2024 Le Monde

Logement : le gouvernement veut donner plus de pouvoir aux maires dans l’attribution des HLM

Michel Barnier souhaite reprendre un projet, prévu par le gouvernement Attal, qui donnerait aux maires les quasi-pleins pouvoirs dans l’attribution des logements sociaux. Les acteurs s’inquiètent d’un retour à des pratiques de corruption et de discrimination.

https://www.lemonde.fr/societe/article/2024/10/17/logement-le-gouvernement-veut-donner-plus-de-pouvoir-aux-maires-dans-l-attribution-de-hlm_6353963_3224.html

>09 octobre 2024 Le Monde

« Les propositions de Michel Barnier sur le logement privilégient le marché aux dépens des personnes mal logées »

L’urbaniste Yoann Sportouch estime, dans une tribune au « Monde », que le projet du gouvernement d’assouplir les normes environnementales et d’étendre le prêt à taux zéro ne propose pas une réponse ambitieuse et efficace à la précarité.

https://www.lemonde.fr/idees/article/2024/10/09/les-propositions-de-michel-barnier-sur-le-logement-privilegient-le-marche-aux-depens-des-personnes-mal-logees_6347370_3232.html

>09 octobre 2024 Le Monde

Combattre la pauvreté est un investissement qui rapporte, affirme une étude publiée par un collectif d’associations de solidarité

Selon une modélisation, publiée par le collectif Alerte, la persistance de la pauvreté coûte très cher aux finances publiques, tandis qu’un effort additionnel pour la combattre serait remboursé en dix ans.

https://www.lemonde.fr/societe/article/2024/10/09/combattre-la-pauvrete-est-un-investissement-qui-rapporte-affirme-une-etude-publiee-par-un-collectif-d-associations-de-solidarite_6347189_3224.html

>09 octobre 2024 Le Monde

Nathalie Appéré, maire (PS) de Rennes : « Le logement est une affaire trop sérieuse pour être abandonné au marché »

Dans une tribune au « Monde », l’édile prône des politiques de l’habitat qui doivent encadrer et maîtriser le marché, pour répondre à l’urgence sociale, lutter contre la spéculation immobilière et permettre aux classes moyennes de se constituer un patrimoine.

https://www.lemonde.fr/idees/article/2024/10/09/nathalie-appere-maire-ps-de-rennes-le-logement-est-une-affaire-trop-serieuse-pour-etre-abandonne-au-marche_6347115_3232.html

>03 octobre 2024 Le Monde

Droit au logement opposable : record de demandes et baisse des attributions

Les recours effectués par les ménages non ou mal-logés au titre du droit au logement opposable, créé en 2007, sont toujours plus nombreux. Pourtant, leur accès au logement diminue, un phénomène inédit hormis durant la crise sanitaire.

https://www.lemonde.fr/societe/article/2024/10/03/droit-au-logement-opposable-record-de-demandes-et-baisse-des-attributions_6342156_3224.html

>01 octobre 2024 Le Monde

Hébergement des sans-abri : la Cour des comptes dénonce des manquements de l’Etat

Dans un rapport publié mardi 1ᵉʳ octobre, la juridiction reproche à l’Etat d’avoir « choisi de faire comme si la croissance des besoins en matière d’hébergement d’urgence était temporaire », ce qui pèse sur la qualité de cette politique publique.

https://www.lemonde.fr/societe/article/2024/10/01/hebergement-des-sans-abri-la-cour-des-comptes-denonce-des-manquements-de-l-etat_6340898_3224.html

>27 septembre 2024 Le Monde

Logement : le monde du HLM affiche sa combativité

Les demandes de logement social ont atteint un nouveau record, à 2,7 millions, tandis que les attributions et les créations continuent de baisser. Réunis en congrès à Montpellier, les bailleurs sociaux ont souligné le manque de soutien des gouvernements successifs depuis 2017 et refusé de baisser les bras.

https://www.lemonde.fr/societe/article/2024/09/27/logement-le-monde-hlm-affiche-sa-combativite_6336315_3224.html

>27 septembre 2024 Le Monde

Plébiscitée au congrès HLM, la nouvelle ministre du logement, Valérie Létard, prévient qu’elle n’aura « pas de baguette magique »

Le milieu des bailleurs sociaux, réuni à Montpellier, s’est montré enthousiaste de la nomination de cette figure centriste qui connaît bien le secteur du logement.

https://www.lemonde.fr/societe/article/2024/09/27/plebiscitee-au-congres-hlm-la-nouvelle-ministre-du-logement-valerie-letard-previent-qu-elle-n-aura-pas-de-baguette-magique_6336265_3224.html

>19 septembre 2024 Synthèse de presse de l’USH 697

2,7 millions de personnes en attente d’un logement social

Le nombre de ménages sur liste d’attente a atteint les 2,7 millions, soit 100 000 de plus qu’en 2023. Aucune région n’est épargnée.